En résidence senior comme en EHPAD, le repas est bien plus qu’une pause nutritionnelle : c’est un moment de sociabilité, de plaisir, et un marqueur fort du quotidien. Pourtant, derrière chaque repas se cache un enjeu médical fondamental : la prévention de la dénutrition.

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Mais comment savoir si une personne âgée mange suffisamment, ou au contraire, si elle commence à trier, repousser ou refuser certains plats ?

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Suivre l'ingesta : un indicateur clé de bien-traitance nutritionnelle

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Le terme "ingesta" désigne la quantité d'aliments effectivement consommée. C'est un indicateur fondamental pour prévenir la dénutrition, bien avant l'apparition de signes cliniques ou la perte de poids.

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Observer ce qui est mangé, mais aussi ce qui est laissé dans l'assiette, permet d'agir plus tôt, plus finement, et avec plus de bien-traitance. Pourquoi ? Parce qu'on prend en compte :

• les préférences alimentaires du résident,
• son niveau d'appétit,
• la satisfaction alimentaire qu'il exprime (ou non),
• sa capacité à mastiquer, à digérer, à tolérer certaines textures.

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Le plaisir de manger est un pilier du bien vieillir. Le respect de ce plaisir, sans culpabilisation, fait partie d’une approche globale bientraitante.

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Des méthodes traditionnelles utilisées... mais très imparfaites

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Aujourd’hui encore, dans la majorité des établissements, le suivi des apports alimentaires repose sur :

• des fiches de répartition papier,
• des observations empiriques faites par les soignants,
• parfois des pesées ponctuelles,
• ou des tableurs Excel mis à jour à la main.

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Les limites sont nombreuses :

• temps nécessaire important (3 à 5 minutes par personne),
• absence de traçabilité claire,
• observations très subjectives d’un professionnel à l’autre,
• difficulté à croiser les données (repas, poids, risque dénutrition...),
• épuisement du personnel surchargé.

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En résumé : la volonté est là, mais l'efficacité reste faible.

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Une solution moderne : l'IA au service de la nutrition

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Et si une technologie permettait de faire le suivi en moins de 20 secondes, sans surcharge pour les équipes ?

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C’est exactement ce que propose Skeal : une solution d’analyse nutritionnelle assistée par l’IA.

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Comment ça fonctionne ?

• Les plats sont photographiés en mains libres,
• L’IA reconnaît automatiquement les aliments présents,
• Elle mesure ce qui a été laissé et donc, ce qui a été ingéré,
• Elle calcule les nutriments absorbés, les taux de gaspillage, et alerte en cas de décrochage.

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Ces données alimentent automatiquement un tableau de bord clair, consultable par les soignants, les cuisiniers ou les diététiciens.

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Comparatif des approches : tradition vs. automatisée

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Une décision facilitée pour mieux accompagner

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En croisant les données de consommation réelle avec les plans de menus, les équipes peuvent enfin :

• Adapter les portions servies,
• Modifier les textures selon les capacités masticatoires ou digestives,
• Proposer des enrichissements personnalisés (caloriques, protéiques...),
• Surveiller les réactions à certains plats, et adapter l'offre culinaire.

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Conclusion : l'IA comme levier de bien-vieillir

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Le suivi précis des apports alimentaires devient une composante essentielle de la qualité des soins.

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Avec une solution comme Skeal, les équipes peuvent :

• anticiper les situations à risque avant l'apparition de la dénutrition,
• améliorer l’état nutritionnel global des résidents,
• réduire les gaspillages alimentaires en adaptant les portions,
• et surtout, replacer la nutrition au cœur d’une approche bientraitante et personnalisée.

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Le tout, sans alourdir la charge des équipes, et avec des données exploitables par les diététiciens comme par les cuisiniers.

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Bien manger pour bien vieillir : ce n'est plus une intention, c'est un cap atteignable.

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