

Dans les établissements de soins (hôpitaux, EHPAD, cliniques), l’alimentation n’est pas qu’une question de logistique : c’est un véritable levier de santé publique. Une nutrition adaptée permet de prévenir la dénutrition, accélérer la récupération, réduire les durées de séjour et limiter les complications.
Pourtant, en 2026 la plupart des établissements ne disposent d’aucune mesure automatisée, ni quotidienne, des apports réels des patients. Les outils restent artisanaux, reposant sur l’observation humaine ou des tableaux de répartition remplis à la main. C’est là qu’intervient l’intelligence artificielle.
Plusieurs freins structurels rendent le suivi des ingesta (quantités consommées) complexe :
Résultat : des décisions alimentaires prises à l’aveugle, ou trop tardivement, alors que la dénutrition est déjà installée.
L’intelligence artificielle permet aujourd’hui d’analyser automatiquement des images d’assiettes avant et après repas, et d’en déduire les quantités réellement consommées.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Cette technologie est non intrusive, rapide (moins de 20 secondes), et totalement adaptée aux flux d’une unité de soins car validée par 4 pilotes à l'hôpital en gériatrie, en EHPAD et à la cantine en école.
L’IA ne remplace pas les professionnels, elle les augmente :
La nutrition devient enfin un indicateur pilotable.
Selon l’étude "Health Care Without Harm Europe", jusqu’à 50 % de la nourriture servie en hôpital est jetée. La dénutrition, elle, augmente les durées de séjour, les réadmissions, et coûte jusqu’à 5000 € par patient concerné.
Avec une solution IA comme Skeal :
L’usage de l’IA est parfois vu avec méfiance. Pourtant, appliquée à la nutrition, elle renforce :
L’objectif n’est pas de remplacer l’humain, mais de lui redonner les moyens d’agir.
💡Saviez-vous que la précision des relevés d’ingesta manuels ne dépasse que rarement les 60 %, selon une étude menée par Barton et al. (2014) dans 5 hôpitaux britanniques ?
Résultat : les quantités réellement consommées sont souvent surestimées ou sous-estimées, rendant difficile toute décision clinique fiable.
Nous avons aussi pu constater que moins de 30% des patients à risque bénéficient réellement d'une fiche alimentaire, et pas tous les jours !
La technologie est mature. Les enjeux sont cliniques, économiques et humains.
Il est temps de faire de la nutrition un pilier vérifiable et personnalisé du parcours de soin, grâce à des outils d’IA simples, rapides et adaptés à la réalité du terrain.
Chez Skeal, nous croyons que ce que l’on mesure, on peut l’améliorer
Et dans les assiettes, comme en médecine, chaque détail compte.
🤝 Prenez rendez-vous pour l'essayer dans vos établissements !
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